euh... comment dire? qui suis-je pour décider de la mort d'autrui? si je n'accepte pas qu'un criminel puisse tuer quelqu'un, pourquoi alors accepterai-je de devnir criminel moi-même ? donnons-nous plutôt les moyens de dépasser ces bassesses humaines : éducation, répression, réinsertion,... même si c'est bien plus facile à dire qu'à faire
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